Déesse grecque des potins

Déesse grecque des potins

Dans la mythologie grecque, Femë était la personnification de la gloire et de l’honneur. Sa faveur signifiait la gloire, sa colère des rumeurs scandaleuses. Selon le mythe, elle était la fille de Gaia ou d’Elpe (Espoir) et est décrite comme « celle qui initie et favorise la communication ». Elle avait un autel à Athènes. La femme était considérée comme une grande bavarde : elle s’immisçait dans les affaires des hommes et des dieux et transmettait ce qu’elle entendait. Au début, ses histoires étaient aussi basses qu’un murmure, mais à mesure qu’elle les répétait, elle parlait de plus en plus fort jusqu’à ce qu’elles soient connues de tous. Dans les œuvres d’art, elle est souvent représentée avec des ailes et une trompette.

Dans la mythologie romaine, Fama (« rumeur ») était décrite comme une créature dotée de plusieurs langues, yeux, oreilles et plumes. Virgile (dans l’ouvrage «Énéide», livre IV, ligne 180 et suiv.) a écrit qu’elle «se tient les pieds sur terre et sa tête tend vers les nuages, rendant le petit grand et le grand encore plus grand». Dans les œuvres d’Homère, Femë est appelée la déesse des Rumeurs ou la messagère de Zeus. Dans le premier livre de l’Odyssée, le but du voyage de Télémaque à Pylos est d’acquérir la « renommée » – la renommée et l’honneur dans le monde.

Rumeur au Théâtre de la Renaissance anglaise (anglais Rumeur) était un exemple courant de personnification. Le passage le plus connu à ce sujet est tiré de la pièce Henri IV, acte 2 de William Shakespeare, où il est dit : « Ouvrez vos oreilles ; lequel d’entre vous fermera l’oreille quand la Rumeur parlera fort ? L’édition d’Arden Shakespeare de James C. Bulman cite également de nombreux autres exemples théâtraux moins connus.

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